Brigitte Ou L’Éducation Sm D’Une Bourgeoise 2

Va te mettre contre le poteau en attendant, bras en arrière, interdit de te frotter les fesses.

Je reviens chargé de tout les accessoires que j’avais acheté : menottes pinces à seins, martinet, cravache


Tourne toi petite vicieuse, montre moi ton cul
Non mieux que cela, cambre toi comme si tu voulais qu’on te prenne d’ailleurs c’est ce qui va t’arriver mais avant tu mérites une petite correction
Tu n’es pas sage pour une belle bourgeoise, tu caches bien ton jeu, en fait tu aimes être baisée hein
Avoue !
Oui murmure t elle
Je n’ai pas entendu, plus fort « j’aime quand tu me baises» allez répète plus fort
« J’aime quand tu me baises » dit-elle distinctement
Et à ce moment le premier coup de martinet s’abat sur ses fesses
Elle sursaute mais aucun son de sort de sa bouche
Répète, lui ordonne ais je : j’aime quand tu me baises et que tu m’encules
« J’aime quand tu me baises et que tu m’encules » répète elle docilement.
Clac !!! le martinet s’abat un peu plus fort
Petite vicieuse tu mérites de te faire baiser et enculer
Clac, Clac : ses fesses rosissent, elle reçoit les coups de martinet sans manifester une quelconque douleur
Compte lui dis je
Quatre clac Cinq murmure t-elle
Encore lui demandais je ?
Oui dit elle……..
C’est bien lui répondis je tout en la cinglant de plus en plus fort cherchant la limite entre le plaisir et la douleur
Les marques des lanières étaient maintenant bien visibles sur son postérieur rebondi ; je bandait dur.
Tend bien ton cul continuais je, écarte tes jambes que je puisse te fouetter ta chatte de petite bourgeoise vicieuse.

Les coups se firent plus doux sur cette région si sensible, le martinet, peu pratique pour atteindre son but fut remplacé avantageusement par la cravache qui alternait des petits coups sur le sexe et l’extérieur des fesses, le postérieur étant déjà bien rouge
Elle recevait sa correction sans broncher, j’imaginais qu’elle y prenait du plaisir
La savoir soumise, attachée fouettée ainsi me procurait un plaisir immense et j’imaginais déjà plus

Je saisis le vibro qui lui procurait tant de jouissance et lui appliquais sur le clitoris
En peu de temps, elle se mis à se tordre de plaisir
J’arrêtais à chaque fois que je sentais sa jouissance arriver puis je reprenais soit en la doigtant soit avec le vibro.


Je lui mis les pinces à seins sans qu’elle émette le moindre refus malgré sa grande sensibilité à ce niveau
Elle était dans un état d’orgasme quasi permanent ; c’était le moment de lui faire passer une marche de plus
Je la détachais, attrapait la guêpière , le la lui mis tout en continuant de la doigter pour ne pas faire redescendre la tension sexuelle qui l’animait
Sa chatte était liquide, je pouvais enfoncer un gros god à fond sans aucune difficulté ; ce que je fis après l’avoir mis en route
J’en profitais pour palper son cul et enfoncer un doigt…. En attendant plus

Elle avait avoué lors du questionnaire son penchant exibitioniste ; et bien c’était le bon moment d’aller faire un petit tour en voiture… uniquement vêtue de la quépière.
Viens on va faire un tour lui dis je....
Aucune protestation
Je me remémore sa réponse au questionnaire du jeu des vacances
« Bien chauffée, je suis prête à faire tout ce que tu me demandes »
Sa réponse était oui mais je pensais qu’elle s’était un peu trop avancée; c'était le moment de voir......

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